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Que peut-on dire sur l’histoire qu’il tente tant d’oublier ? L’histoire d’un riche petit humain, aveuglé par le ‘fric’ et le pouvoir, et ceux dés son plus jeune âge. Ôh, mais n’allez pas lui reportez la faute, nan, car au fond de lui, et même contre son gré actuel, le petit homme n’a jamais désiré suivre ce chemin, mais qu’attendez-vous de l’hériter d’un riche sadique ? Franchement… Kôsuke fut né sous le toit d’une vaste et grande villa au sein d’un village un peu réputé (sa maison). Et tout le monde connaissait son nom dés sa naissance, et pour cause, la fête qu’on le lui avait préparé pour célébrer ce jour bénis, en effet, ce fut une merveilleuse fête, d’une splendide soirée remplie de joie…ou du moins, c’est-ce qu’exprimaient leurs visages à eux…eux qui étaient ses invités, cependant, qui sait ? Peut-être que sous cet aspect de bonheur, se cachait une haine, jalousie ? Autre chose ? Quoiqu’il en soit, les apparences sont parfois trompeuses, ne vous fiez jamais aux apparences, c’est-ce qu’aurait du lui apprendre son père, au lieu de lui ‘filer’ son obsession héréditaire du fric.
Le jeune garçon eut pour mère une magnifique, splendide, lumineuse, bref, une extraordinaire mère, l’aimant et le chérissant comme jamais une autre mère ne l’aurait fait, elle lui accordait tant de tendresse qu’elle réclamait une larme de son doux visage à chaque nuit, quand elle le voyait entrain de dormir. Pas la peine de vous préciser qu’elle représentait tout pour lui à cette époque, il l’aimait autant qu’elle l’aimait, étrangement, et contrairement aux habitudes enfantins, ce petit garçon réfléchissait à chaque nouvelle tentation qu’il le détenait pour découvrir, se remémorant de chaque répliques rétorquer et interdit par sa tendre et délicate mère. Il lui obéissait au doigt et à l’œil, à chaque ordre donné d’un infinie ton de tendresse et d’amour. De ce fait, on pouvait facilement deviner qu’il appartenait aux gens respectant l’amour, l’aimant soi-même et la chérissant, aux gens qui n’ont que pour seul désire que la paix, ces être purifiés qui voit la vie en blanc… Mais hélas, chaque bonne histoire à une fin, et généralement, la fin ne représenterait que le mal, symbolisent le retour éminent de la réalité, une réalité qui n’est plus, et une réalité ne comportant que les désires oublier de satan.
Fukiso, son père, était l’un des gens les plus estimés au sein du village, il gouvernait une grande partis de ces terres et élaborait plusieurs rencontres étrangères, et souvent basées sur les affaires. Il a préféré sacrifié sa vie pour l’argent, Ôh excusez-moi du terme, j’aurais du dire ‘Fric’. « Du fric par-ci, du fric par-là, une affaire par-ci, une affaire par-là » Bref, il n’avait que ce programme affiché à l’intérieur de sa boite crânienne. Il ne voyait que très rarement son fils, mais espérait quand même, aveuglément même, que ce petit garçon deviendrait grand et qu’il prendrait sa place, héritant ainsi de son ‘trésor’, pour suivre son milieu et sacrifier sa vie aussi, il voulait tant qu’il soit son ‘sousi’ , mais bordel, pourquoi ? Pourquoi a-t-il bien pu élire un tel avenir pour ce garçon qu’est son fils, proprement désigné par l’immaculation du blanc, ce n’était vraiment pas un bon désire. Il aurait pu lui laisser la vie, le libéré de toute chaîne emprisonnant son esprit pour qu’il vive une vie comme il le sentait, comme bon lui semblerait quoi ! Si le père ne lui aurait donné qu’une bonne éducation et une vaste quantité d’affection, Ca lui aurait largement suffit pour bien grandir, vivre, créer son propre avenir, et non prendre le contrôle d’ « un » déjà établis, et pouvoir profiter de cette terre à la con ! Enfin, décidément, heureusement qu’il a une superbe mère (comme toutes les mamans, non ? =D ) le comprenant, le chérissant et lui allégeant ses souffrances, et ceux, même en cachant les siennes. Car oui, aussi horrible pouvait lui être cette image, le jeune Kôsuke trouva, par un mauvais jour noir, sa mère plaquer au sol entouré de sang, pleins de coups d’épées purent se décryptaient à travers son dos, sa longue robe blanche était bien triste maintenant, tâché par le sang rouge, quel triste et horrible image, même en le répétant cent fois, vous ne pouvez comprendre ce qu’il ressentait à ce moment : une fusion rapide entre la haine, la engeance, la curiosité et la pression. « AAAAAAAAAAAA…AAHHHHHHHHHHAAAHA… » Cria-t-il aussi fort qu’il pouvait, c’était le seul symbole qu’il pouvait rétorquer en réponse de ce atroce scène. Sa mère fut tuée ! ‘Nan, c’est impossible, elle ne peut mourir ! Elle n’en a pas le droit ! Nan nan nan et nan ! Ce n’est qu’un cauchemar’… n’arrêtait-il pas de se répliquer au milieu d’un rêve après son évanouissement du à ce choque. Cependant, quand il ré ouvra ses paupières pour regarder, tout lui était blanc. Il se trouvait allongé au-dessus d’un lit entouré de draps blancs, à sa droite, quelques fruits et du sérum injectés en ses veines… en face, rien, à par le rideau qui laissait paraître le bout de ses pieds et ses orteils bougeant dans le but de lui assurer son réveil. … et à sa gauche : Un père tout habillé en noire pleurant tout en fixant les yeux de son propre fils, des larmes…des larmes coulant tel des sources à travers ses joux. Des larmes de tristesse, dur à réaliser.., À cet instant même, malgré la mort de sa mère, Kôsuke s’était au moins rassuré d’une chose, que son père aimait réellement sa douce mère. Son doute caché trouva enfin une réponse… mais qui nous dit qu’elles ne sont pas fausses ? Jouer par une pure comédie ? Bien sûr, sur le moment, le jeune garçon n’évoqua même pas cette idée en tête, et ne pensait aucunement à cette affreuse éventualité, suivant les fils des années qui passèrent après cette journée, empruntant trait part trait les conseils de son père, débutant peu à peu à prendre ses habitudes obsessifs.
…
Une année s’écoula ; et il se détacha de son amour invisible pour sa mère. N’ayant que six ans, mais a oublié tout ce dont sa mère lui conseillait de faire. Il l’avait aveuglément oublié, à cause de son père qui lui apprenait de nouvelles choses, lui accordant de nouvelles sensations, même si celles-là sont dangereuses. Mais la mort de sa mère ne fut pas qu’un moment de malheur sans rien laisser d’autre, non, car au moment où son amour pour la vie commençait à se désintégrer de son esprit, celui(l’esprit) de la violence évoqua une spécialisation et un rêve en cet être. En effet, la violence comportait l’enseignement de l’art des poids lourds, le maniement des épées à grande et à mince taille. Tout ce qui se proposait au corps à corps, et il se débrouillait merveilleusement dans l’école où son père l’obligea à s’inscrire. Il était même le meilleur, avec un autre, enfin, ‘une’ devrait être plus précis. Une asiatique, fille d’un riche marchand du coins, ses ancêtres étaient des samouraïs, et sa spécialisation ne se résumait qu’aux sabres malheureusement pour elle, et contrairement à Kôsuke, qui lui, était doué dans n’importe quelle domaine du moment qu’il touchait à la poigné pour tenir son épée. Il reçut plusieurs médailles, félicitations, et même des offres d’autres écoles lointains, mais plus développé. Bref, en ce domaine, il avait une très bonne place sociale.
Un bon jour, lors d’un couché de soleil émerveillé dans un immaculé ciel, la jeune asiatique pratiquait son entraînement dans une pièce de l’école. Toute seule, avec son uniforme ‘bizarre’ que trouvait Kôsuke, à donner une multitude de coups d’sabre à l’air. C’était étonnant la rapidité dont elle exercé dans ses mouvements, une précision hors du norme, c’était certain, en cas d’un réel combat, elle ne raterait jamais les points qu’elle viserait, c’était très provocant pour le jeune garçon, ses sourcils s’enfoncèrent d’un coup, ses lèvres se redressèrent pour exprimer sa colère, et sa jalousie, et d’un claquement de pas, il entra dans cette salle. Mais étrangement, au lieu de continuer vers cette jeune fille, ses marche s’altérèrent et son corps ne bougeait plus, son regard se détournait vers la gauche comme pour fixait quelque chose de précis. Sa gorge était scié d’une fine lame, brillement porter de la part de la jeune femme, du sang commençait à couler, et pourtant, les battements de son cœur gardait le même rythme cardiaque, rien ne changea, et il ne ressentait aucune peur envers cette attaque ni envers cette jeune femme, incroyable sang-froid pour un gamin. Pourquoi ? Pourriez-vous vous poser dans la tête…mais la réponse est toute simple, revenant plutôt en arrière, deux jours après la mort de l’être qui lui était le plus cher, sa mère. Il se remémorait avec détail, chaque fraction de seconde passait à admirer cette scène, à bénéficier de l’esprit de cette frayeur, à dégager cette pression qui lui était comme un grand fardeau. Il dégagea toute ces sensations d’un seul et unique coup, et cela lui permit d’acquérir un nouveau pourvoir, non pas une magie ou une sorcellerie, mais un pouvoir psychologique, le pouvoir du sang-froid. En effet, après ce moment de torture d’esprit, Kôsuke se réveilla avec un sang-froid incomparable, non parce qu’il s’était transformé en monstre intérieurement ne connaissant plus la peur, mais si celle-ci(la peur) l’hanta par malheur, soyez sûr, çà ne durerait pas plus de trois secondes. Tel était le bénéfice que sa mère lui avait ‘sauvagement’ laissée… En outre, pour revenir aux faits, la jeune asiatique ne redressa nullement son sabre, préférant connaître ses intentions en entrant par discrétion. Elle lui posa donc une question, Franche, simple et peu délicate ‘ pour m’espionnais-tu et que voulais-tu faire ? ‘ le jeune garçon fut très surpris, oui, extrêmement surpris du fait que la jeune fille put l’avoir détecter, alors qu’il s’était très bien caché, et de la rapidité dont elle avait retournée la situation en sa faveur. Elle ne devait pas être humaine, non, impossible, seul un elfe peut se déplacer d’une telle vitesse ! Qui était cette enfant ? Et en se posant cette question, Kôsuke remarqua enfin ses orteils pointus, un peu verts même si çà annonçait le contraire de sa couleur de peau. Elle portait étrangement les mêmes caractéristiques physiques que sa mère, ayant une oreil pointue, et un visage doux comme la soit. Le garçon se rappela alors qu’il n’avait jamais eu de réponse à sa question, jamais n’eut-il une réplique quand il lui demandait (à sa mère) ‘ Maman, pourquoi tu n’as pas les mêmes oreilles que nous ? ‘ Jamais… Mais maintenant il comprenait, il savait de quelle race appartenait sa mère et d’où elle détenait tant de bonté et de beauté. Une larme de tristesse s’écoula alors de ses paupières refermées, 5 ans passées auprès d’elle, et jamais ne s’était-il aperçu que sa mère était une elfe... il se sentait coupable, et du s’enfuir de la pièce en pleurant (tel qu’un bébé ;P mais çà en est un encore xD ) Et d’ici, on peut se rendre compte que la jeune fille n’était pas asiatique, mais plutôt une elfe. Pour elle, puisque ses pouvoirs de déchiffrer les sentiments ne s’étaient pas encore dévoilés, croyait que c’était à cause d’elle qu’il s’était mis à pleurnichait, pas étonnant, vu sa réaction, et se sentit tellement coupable qu’elle décida de lui demander pardon, pour je ne sais quoi – Oui, car pour moi, elle avait le droit de blesser (extérieurement hein =P ) xD Il l’espionnait, oui, et si par malheur pour elle, elle pratiquait d’autres occupations, hein ? XDD -